Affichage des articles dont le libellé est fromage. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est fromage. Afficher tous les articles

mercredi 4 février 2009

les PUDUC en mission

Chapitre 2 : Même pas mal !

A peine touché le sol de la petite clairière ou je venais d’atterrir, je signalais ma présence aux autres en imitant le cri du mâle bonobo. Les uns après les autres, les PUDUC qui avaient touchés terre ça et là, répondirent par les mêmes hurlements. Quelques minutes plus tard nous étions rassemblés et seuls manquaient à l’appel nos deux amis disparus un peu plus tôt.

Ne voulant nous résoudre à cette fatalité, nous décidâmes de les rechercher malgré tout avec le faible espoir de les retrouver en vie. Les PUDUC étant doté en effet d’une constitution hors du commun, il se pourrait bien qu’ils soient en vie.

Se fut L’valet qui découvrit Nountch gisant au pied d’un arbre, inconscient mais sauf. Ce dernier, était passé au travers d’un arbre gigantesque dont les branches touffues avaient amorties sa chute qui, bien que violente, ne s’avéra pas mortelle. Nountch le démerleur était toujours vivant mais complètement désarticulé. Il nous gratifiât d’un clin d’œil rassurant et déclara.

_ Avant que vous me remettiez tous ça en place, j’veux boire un coup !

Bruno lui donna une gorgé de Tigrant, (ce précieux liquide au combien apprécié des PUDUC dont bruno le Buveux ne se sépare jamais). Puis, l’valet et moi replacèrent les articulations de Nountch à leurs places pour enfin le remettre sur ses pieds. Aussitôt redressé notre rescapé bondit puis commença une série effrénée de pompes. Il fut heureusement et rapidement interrompu par une louise sifflante de Jean-Chris juste sous son nez. Car tel qu’il était parti, Nountch en aurait jusqu’à la nuit si on laissait faire.

Tonton fut retrouvé peu de temps après accroché à une haute branche, endormi la tête en bas et suspendu par son pantalon. Ce sont ses célèbres ronflements qui nous guidèrent jusqu’à lui et nous permirent de le localiser. Schany grimpa lestement décrocher Tonton, le débarrassant par la même occasion d’un groupe de ouistiti qui avait trouvé refuge sous ses imposantes et apparemment confortables bourses.

Le commando ayant retrouvé son dernier membre, nous entamèrent spontanément une gigue frénétique. Cet intermède dansant cessa au crépuscule lorsque la faim se manifesta.
Il était temps en effet de se restaurer avant de reprendre notre quête.
Se fut l’occasion pour L’valet de sortir de sa besace un récipient hermétique contenant un gros fromage.

_Eh eh, un fromage de Bergues ! Déclara joyeusement L’valet.

Puis il ouvrit la boite, renifla le contenu et déclara.

_Hummm, sentez moi ça les copains !

Comme si elle n’attendait que cela, une nuée de mouches venues de nulle part fondit sur le fromage odorant, (dont le fumé dépasse de loin celui du légendaire Maroilles). La boite fut aussitôt refermée. Mais la horde d’insecte voyant son repas lui échapper devint très vite agressive et s’attaqua à nous. (Il faut préciser que les insectes en question étaient vraiment gros. On aurait dit un croisement entre un frelon et une grosse mouche à merde. Et en plus elles piquaient les saletés).
Nous étions attaqués sans répits à l’exception de Bruno que les mouches évitaient vivement. Ce dernier, nous observant avec inquiétude, semblait comme immunisé.
Je compris alors en m’approchant de lui le pourquoi de la chose. Le Tigrant bien sûrs !

Cet élixir que notre compagnon consommait en grande quantité avait, a l’instar d’Obélix avec sa potion magique, profondément modifié son ADN. Le Buveux dégageait des émanations de Tigrant, extrêmement toxiques pour ces foutus insectes. Nous dument sacrifier alors une bouteille entière du précieux breuvage, malgré les protestations de Bruno, pour nous en asperger et ainsi mettre en fuite nos agresseurs aillés.


La nuit était tombée désormais et il nous fallait prendre du repos avant de repartir des l’aube au secours du président Salengro, car tel était notre mission. Et rien ni personne ne pourrait nous en empêcher, foie de PUDUC.

Suivre…….

mercredi 13 août 2008

Les PUDUC contre DRACULA

chapitre 1




Nous roulons à fond, je jette un œil sur le compteur………110. C’est le pied. Jean Chris me dépasse et ce place devant moi et là de sa main droite baisse son falzar puis, me présente sans vergogne son arrière train au joues charnues. Et là c’est l’attaque. Une déflagration, tel un coup de tonnerre, suivie d’une volée de matières fécales. Putain ! Je baisse la tête et le flot d’excréments passe au dessus. J’ai eu chaud. Il a bien faillit m’avoir « la rupture ». Je me porte à sa hauteur et lui signale que c’est loupé pour cette fois encore. Lui, mort de rire me fait signe de me retourner. Alors, je vois, Tonton, le poing levé en un geste menaçant, le visage en parti recouvert de déjections. Oh, putain, c’est lui qui à tout pris dans la face, et il à l’air mauvais.

Hier. Nous avions pris la route, les PUDUC au complet. Christophe, Nountch, Franck, Schany, Bruno, David, Jean-Christophe et moi. Il nous arrive parfois, en effet, lorsque l’envie d’aventure nous prend, de partir à la recherche de concentres lointaines. Cette fois ci le destin nous a conduit quelque part en Roumanie et plus précisément en Transylvanie (célèbre dans le monde pour ses fromages au lait de brebis fermenté dans de l’urine de loup).

Nountch se porte à ma hauteur et me fait savoir que le soleil va bientôt se coucher et qu’il va, en outre, falloir trouver un endroit pour la nuit. Puis tonton déboule comme une fusée pour dépasser notre groupe et, dans un dérapage contrôlé se plante au milieu de la route, il bondit alors de sa moto et nous fait signe de stopper.

Le groupe se range alors sur le bas coté et se regroupe attendant avec une certaine crainte que Franck nous rejoigne. Mais c’est d’un pas étonnamment calme que s’approche notre Tonton. Ce qui semble rassurer tous particulièrement Jean-Chris qui s’attendait au pire.
Une fois à notre hauteur Tonton trebuche et effectue une surprenante roulade avant, pour se redresser pile poil devant Jean-Chris qui surprit ne peut éviter une gerbe de vomi à bout portant.
Il reste là alors hébété devant un franck arborant le sourire fier de la vengeance accomplie.

_ Un partout, on en restera là pour aujourd’hui. Intervient promptement Nountch.
Ce qui met un terme aux hostilités.
(Ces joutes un peu spéciales entre PUDUC sont toujours sans conséquences, car elles nous stimulent et nous permettent d’êtres réactifs en toutes circonstances, resserrant par là même les liens qui nous unissent.)

_Eh, les copains, j’boirais bien un Ti Grant ! S’exclame ensuite Bruno.
Tous le monde se regarde puis……. c’est le fou rire générale.

A suivre.....