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lundi 16 mars 2015
mercredi 2 mars 2011
Sale temps pour les PUDUC
Chapitre 1 : un café chez Tonton.
Je raccroche le téléphone après avoir passé un long moment à discuter avec mon ami LOLO, au sujet d’une nouvelle technique de méditation qu’il est en train d’expérimenter en ce moment quand mon portable sonne de nouveau.
C’est L’valet qui décolle de chez lui et veut savoir si ça me dit d’aller boire un café chez Tonton Franck, cet après-midi.
_Ok pour moi, je serai prêt dans 5 minutes.
_Parfait j’arrive.
45 minutes plus tard, il est devant ma porte. Je lui fais alors remarquer qu’il à battu son record pour parcourir les 2km qui séparent son domicile du mien.
Il lève alors un sourcil et déclare laconiquement.
_ Normal j’suis passé par l’autoroute !
Nous prenons ensuite la route pour le domicile de notre chère Tonton.
2h15 plus tard, à bord de la « Niou-Bitteul », (forcément c’est L’valet qui conduit), nous arrivons enfin à destination.
_Vous êtes en avances, papa est dans son atelier avec Schany et Bruno, nous indique Benji le fils du maitre des lieux.
_J’ai pris un raccourci, explique L’valet d’un air satisfait, puis demande.
_Y’a du café ?
Au fond du jardin ce trouve le domaine réservé de notre hôte. Son atelier, son donjon, son entre, tel son les qualificatifs pour désigner l’endroit mythique ou notre Tonton Franck invente toutes sortes d’appareils et autres machines en tous genres. La dernière en date étant une machine à coudre révolutionnaire entièrement fabriquée en inox avec un moteur hybride couplé à des bombonnes de NOS (comme les voitures dans « fast and furious).
Pendant que mon compère L’valet sirote son Café, je vais voir ce qui se passe au fond du jardin. Pour cela je dois bien évidement éviter les nombreux pièges implantés dans le terrain par Nathalie et destinés aux éventuels curieux.
En effet, mis à part les mines anti-personnelles, les fosses garnies de pieux acérés, les pièges à loups et à ours, notre très chère Nath, a décoré son jardin de nombreuses fleurs aussi belles que mortelles ainsi que de quelques exemplaires de plantes carnivores d’une extrêmes dangerosité. J’ai même oui dire qu’une série de cambriolage avaient eu lieu, il y a quelques mois, dans le secteur et qu’elle s’était soudainement interrompue le lendemain ou Nath avait planté un nouveau massif.
Au travers de la porte blindée de l’atelier, je perçois un sacré remue-ménage. Je tambourine alors pour me signaler.
Le bruit cesse alors et la porte s’ouvre. C’est Schany l’ange noire qui m’accueille chaleureusement.
_ Entre, mon copain, viens voir ça !
A suivre.
Je raccroche le téléphone après avoir passé un long moment à discuter avec mon ami LOLO, au sujet d’une nouvelle technique de méditation qu’il est en train d’expérimenter en ce moment quand mon portable sonne de nouveau.
C’est L’valet qui décolle de chez lui et veut savoir si ça me dit d’aller boire un café chez Tonton Franck, cet après-midi.
_Ok pour moi, je serai prêt dans 5 minutes.
_Parfait j’arrive.
45 minutes plus tard, il est devant ma porte. Je lui fais alors remarquer qu’il à battu son record pour parcourir les 2km qui séparent son domicile du mien.
Il lève alors un sourcil et déclare laconiquement.
_ Normal j’suis passé par l’autoroute !
Nous prenons ensuite la route pour le domicile de notre chère Tonton.
2h15 plus tard, à bord de la « Niou-Bitteul », (forcément c’est L’valet qui conduit), nous arrivons enfin à destination.
_Vous êtes en avances, papa est dans son atelier avec Schany et Bruno, nous indique Benji le fils du maitre des lieux.
_J’ai pris un raccourci, explique L’valet d’un air satisfait, puis demande.
_Y’a du café ?
Au fond du jardin ce trouve le domaine réservé de notre hôte. Son atelier, son donjon, son entre, tel son les qualificatifs pour désigner l’endroit mythique ou notre Tonton Franck invente toutes sortes d’appareils et autres machines en tous genres. La dernière en date étant une machine à coudre révolutionnaire entièrement fabriquée en inox avec un moteur hybride couplé à des bombonnes de NOS (comme les voitures dans « fast and furious).
Pendant que mon compère L’valet sirote son Café, je vais voir ce qui se passe au fond du jardin. Pour cela je dois bien évidement éviter les nombreux pièges implantés dans le terrain par Nathalie et destinés aux éventuels curieux.
En effet, mis à part les mines anti-personnelles, les fosses garnies de pieux acérés, les pièges à loups et à ours, notre très chère Nath, a décoré son jardin de nombreuses fleurs aussi belles que mortelles ainsi que de quelques exemplaires de plantes carnivores d’une extrêmes dangerosité. J’ai même oui dire qu’une série de cambriolage avaient eu lieu, il y a quelques mois, dans le secteur et qu’elle s’était soudainement interrompue le lendemain ou Nath avait planté un nouveau massif.
Au travers de la porte blindée de l’atelier, je perçois un sacré remue-ménage. Je tambourine alors pour me signaler.
Le bruit cesse alors et la porte s’ouvre. C’est Schany l’ange noire qui m’accueille chaleureusement.
_ Entre, mon copain, viens voir ça !
A suivre.
mercredi 13 août 2008
Les PUDUC contre DRACULA
chapitre 1



Nous roulons à fond, je jette un œil sur le compteur………110. C’est le pied. Jean Chris me dépasse et ce place devant moi et là de sa main droite baisse son falzar puis, me présente sans vergogne son arrière train au joues charnues. Et là c’est l’attaque. Une déflagration, tel un coup de tonnerre, suivie d’une volée de matières fécales. Putain ! Je baisse la tête et le flot d’excréments passe au dessus. J’ai eu chaud. Il a bien faillit m’avoir « la rupture ». Je me porte à sa hauteur et lui signale que c’est loupé pour cette fois encore. Lui, mort de rire me fait signe de me retourner. Alors, je vois, Tonton, le poing levé en un geste menaçant, le visage en parti recouvert de déjections. Oh, putain, c’est lui qui à tout pris dans la face, et il à l’air mauvais.
Hier. Nous avions pris la route, les PUDUC au complet. Christophe, Nountch, Franck, Schany, Bruno, David, Jean-Christophe et moi. Il nous arrive parfois, en effet, lorsque l’envie d’aventure nous prend, de partir à la recherche de concentres lointaines. Cette fois ci le destin nous a conduit quelque part en Roumanie et plus précisément en Transylvanie (célèbre dans le monde pour ses fromages au lait de brebis fermenté dans de l’urine de loup).
Nountch se porte à ma hauteur et me fait savoir que le soleil va bientôt se coucher et qu’il va, en outre, falloir trouver un endroit pour la nuit. Puis tonton déboule comme une fusée pour dépasser notre groupe et, dans un dérapage contrôlé se plante au milieu de la route, il bondit alors de sa moto et nous fait signe de stopper.
Le groupe se range alors sur le bas coté et se regroupe attendant avec une certaine crainte que Franck nous rejoigne. Mais c’est d’un pas étonnamment calme que s’approche notre Tonton. Ce qui semble rassurer tous particulièrement Jean-Chris qui s’attendait au pire.
Une fois à notre hauteur Tonton trebuche et effectue une surprenante roulade avant, pour se redresser pile poil devant Jean-Chris qui surprit ne peut éviter une gerbe de vomi à bout portant.
Il reste là alors hébété devant un franck arborant le sourire fier de la vengeance accomplie.
_ Un partout, on en restera là pour aujourd’hui. Intervient promptement Nountch.
Ce qui met un terme aux hostilités.
(Ces joutes un peu spéciales entre PUDUC sont toujours sans conséquences, car elles nous stimulent et nous permettent d’êtres réactifs en toutes circonstances, resserrant par là même les liens qui nous unissent.)
_Eh, les copains, j’boirais bien un Ti Grant ! S’exclame ensuite Bruno.
Tous le monde se regarde puis……. c’est le fou rire générale.
A suivre.....



Nous roulons à fond, je jette un œil sur le compteur………110. C’est le pied. Jean Chris me dépasse et ce place devant moi et là de sa main droite baisse son falzar puis, me présente sans vergogne son arrière train au joues charnues. Et là c’est l’attaque. Une déflagration, tel un coup de tonnerre, suivie d’une volée de matières fécales. Putain ! Je baisse la tête et le flot d’excréments passe au dessus. J’ai eu chaud. Il a bien faillit m’avoir « la rupture ». Je me porte à sa hauteur et lui signale que c’est loupé pour cette fois encore. Lui, mort de rire me fait signe de me retourner. Alors, je vois, Tonton, le poing levé en un geste menaçant, le visage en parti recouvert de déjections. Oh, putain, c’est lui qui à tout pris dans la face, et il à l’air mauvais.
Hier. Nous avions pris la route, les PUDUC au complet. Christophe, Nountch, Franck, Schany, Bruno, David, Jean-Christophe et moi. Il nous arrive parfois, en effet, lorsque l’envie d’aventure nous prend, de partir à la recherche de concentres lointaines. Cette fois ci le destin nous a conduit quelque part en Roumanie et plus précisément en Transylvanie (célèbre dans le monde pour ses fromages au lait de brebis fermenté dans de l’urine de loup).
Nountch se porte à ma hauteur et me fait savoir que le soleil va bientôt se coucher et qu’il va, en outre, falloir trouver un endroit pour la nuit. Puis tonton déboule comme une fusée pour dépasser notre groupe et, dans un dérapage contrôlé se plante au milieu de la route, il bondit alors de sa moto et nous fait signe de stopper.
Le groupe se range alors sur le bas coté et se regroupe attendant avec une certaine crainte que Franck nous rejoigne. Mais c’est d’un pas étonnamment calme que s’approche notre Tonton. Ce qui semble rassurer tous particulièrement Jean-Chris qui s’attendait au pire.
Une fois à notre hauteur Tonton trebuche et effectue une surprenante roulade avant, pour se redresser pile poil devant Jean-Chris qui surprit ne peut éviter une gerbe de vomi à bout portant.
Il reste là alors hébété devant un franck arborant le sourire fier de la vengeance accomplie.
_ Un partout, on en restera là pour aujourd’hui. Intervient promptement Nountch.
Ce qui met un terme aux hostilités.
(Ces joutes un peu spéciales entre PUDUC sont toujours sans conséquences, car elles nous stimulent et nous permettent d’êtres réactifs en toutes circonstances, resserrant par là même les liens qui nous unissent.)
_Eh, les copains, j’boirais bien un Ti Grant ! S’exclame ensuite Bruno.
Tous le monde se regarde puis……. c’est le fou rire générale.
A suivre.....
jeudi 7 août 2008
lundi 23 juin 2008
mardi 10 juin 2008
jeudi 10 avril 2008
R.I.P GLENN HUGHES
A putain !!!! J'en suis encore tout ému. Je viens d'apprendre que l'idole de toute une génération d'affreux bikers était décédé. Et comment ce fait il que cette terrible nouvelle nous ai été caché si longtemps ? Peut-être que les autorités avec la complicité des médiats, redoutaient ils une réaction violente et incontrôlée de notre part. Mais, qu'ils se rassurent car les PUDUC sauront rester digne malgré leur tristesse. En effet, Le 4 mars 2001, Glenn Hughes, le chanteur tout en poils et cuir des Village People, est décédé à l'âge de 50 ans. Désormais et ceci à chaque concentre, nous, les PUDUC, observerons une minute de silence en mémoire de celui qui fut le symbole mondial des motard rebeles avec du poil aux pattes (et au cul). Adieu macho man repose en paix.
samedi 22 mars 2008
arts martiaux
mardi 18 mars 2008
salon de la moto pecquencourt 2008
Grâce à notre réputation impitoyable, le club de PECQUENCOURT nous a demandé de bien vouloir assurer la sécurité. Étant débordés en cette période ( on a pas que ça à faire ! ), nous n'enverrons que quelques membres ( mais parmi les plus terribles ), ceci de façon non officielle et bénévole bien sûr.
Allez en paix. NOUS VEILLONS !!

mercredi 12 septembre 2007
vendredi 29 juin 2007
mercredi 20 juin 2007
vendredi 16 mars 2007
jeudi 7 décembre 2006
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