
CE JOUR VIENDRA… ACTE 6 (vu par One fan)
Partie 1

Une ville futuriste avec des voitures silencieuses, elles volent à 30 mètres au dessus du sol et ne dérange même pas ce vieil homme assis sur son banc. Ulrich, c’est son nom, dernier témoin privilégié d’une époque où le véritable honneur a pris naissance dans les larmes et le sang… Cet homme abîmé par les saisons, c’est moi…
Le paysage paisible et les pigeons auxquels je donne des graines me rendent heureux d’avoir la forme pour mes 167 ans. Nous devons ce bonheur de vivre en paix, aux célèbres PUDUC… le simple fait d’y penser m’oblige à me lever et à observer 3 minutes de silence avec le salut traditionnel… Des enfants passent en jouant, les tee-shirts qu’ils portent sont à l’effigie des célèbres chevaliers, une larme coule le long de ma joue, c’était le bon vieux temps. Bon c’est pas tout ça, mais je dois encore faire mes 10 kilomètres de jogging… aller, c’est parti !

Une bataille fait rage quelque part dans une lointaine galaxie et le vide sidéral n’arrive pas à étouffer les bruits sordides causés par les multiples attaques contre le vaisseau abritant nos

Le chant du coq réveille un corps enlacé dans des draps de coton. Les rayons du soleil se propagent au travers d’un volet partiellement fermé, n’éclairant que très peu la pièce. C’est une chambre particulièrement petite, mais décorée avec goût. Après quelques minutes le corps se révèle être celui d’une femme… une très jolie femme, peut-être même trop. Le gracieux corps se lève difficilement et se dirige vers un « coin d’eau ». La jeune femme enlève avec une grâce innée sa chemise de nuit, la dépose sur une chaise puis commence son interminable toilette. Pourquoi, je ne sais pas, mais sa peau doit certainement et naturellement sentir la noisette. Sa nudité immaculée laisse apparaître des fesses et des seins à la volupté tentatrice. Aucun défaut ne vient perturber la perfection faite femme. La vision virginale de la jeune diablesse est presque envoûtante, un bonheur pour les uns, mais un supplice pour les autres.

Elle plie délicatement les genoux, arc-boute le bas de son dos et pose ses fesses généreuses sur le bord de la chaise. Prise dans le tourbillon du ralenti, elle secoue la tête, dévoilant ainsi une longue et douce chevelure brune. Un gros peigne vient maintenant retenir maladroitement ses cheveux qui tombent, mèche après mèche, sur son petit visage d’ange. Sublimée par la lumière peu diffuse d’une unique ampoule, elle écarte ses jambes puis enfile délicatement un gant de bain et parcourt avec légèreté son anatomie jusqu’à… pour les âmes sensibles, il est préférable d’en rester là...
2 commentaires:
présentement,j'en attrape une demie avec vos conneries!
salvação para o famoso puduc você, nós aqui em Portugal gostaríamos de ter um herói como você, você é muito forte, a profunda puduc
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