
L’obscurité aidant nous allions pouvoir mettre à profit nos capacités innées de dissimulation.
Jean-Chris notre expert en communications, nous expliqua un moyen rapide et surtout discret pour communiquer s’il en était besoin. Il suffisait pour cela d’imiter le tamanoir péteur d’Amérique du sud, cet animal bien connu pour ses flatulences bruyantes et puantes. Puis joignant le geste à la parole il nous gratifiât d’une petite démonstration très réaliste, surtout au niveau de l’odeur.
Nous avions déterminé ensuite une zone d’exploration du site pour chacun. Le premier à trouver le président Salengro avertirait les autres par un signale convenu. Je devais pour ma part explorer le petit temple au sommet de la pyramide.
Je progressais sans problème le long d’une rangé d’arbustes lorsque j’entendis plusieurs personnes s’approcher. Calmement je pris une pose figé. Ainsi parfaitement dissimulé grâce aux feuilles et branchages qui constituaient mon camouflage je fus ignoré par le petit groupe qui passa devant moi sans me voir. Mais, un type fit demi-tour pour venir se planter juste devant moi et ouvrir sa braguette. Il commença à uriner sur mes pieds, me confondant avec un arbre, mais ne pu finir de s’épancher sur mes godasses car il mourut instantanément sous le coup d’un violent atémi, porté entre la 4ème et 5ème vertèbre. Je dissimulais ensuite le corps dans un buisson et reprenais mon chemin.
J’arrivais enfin au pied de la pyramide, non sans avoir évité plusieurs patrouilles de types semblants tout droit sortis d’une gay pryde. Quasiment nus à l’exception d’un pagne et d’une cape faite de plumes colorées. Je gravis ensuite rapidement l’édifice pour me retrouver au sommet. Tout était calme. De la lumière sortait d’une ouverture dans le mur du temple. Je jetais un œil à l’intérieur et découvrais la scène suivante.

Sur ce même lit, ronflait paisiblement un individu arborant un sourire béat. L’individu en question n’était autre que Chavez la charogne, celui dont Nountch nous avait fait une parfaite description.
Sans plus attendre j’émis une longue flatulence contrôlée, pour signaler à mes comparses que j’avais trouvés le président. En écho j’entendis résonner dans la nuit des pets qui m’indiquaient qu’ils avaient compris et qu’ils rappliquaient.
Malheureusement ce signal réveilla le tortionnaire qui, de toute évidence de mauvais poil, s’en prit aussitôt au président.
_C’est toi qui a pété, esclave? Comment oses-tu me réveiller !
L’invectiva l’ignoble personnage, lui administrant au passage un méchant coup de pied.
Sur ce, j’enfonçais la porte et interrompais cette charogne de Chavez qui allait remettre ça.
_Ola, amigos ! Si j’étais toi je ne ferais pas ça !
_Hijo de puta ! Cracha-t-il avant de se jeter sur moi, l’écume aux lèvres.

L’valet, Tonton, Nountch et Jean-Chris arrivèrent au moment où je détachais le président.
Le pauvre homme était dans un triste état. Il avait, à en juger, subit de nombreux sévices.
Heureusement il était en vie et nous allions faire en sorte qu’il retrouve la civilisation.
A suivre......
1 commentaire:
Grand merci a vous tous.Avant j été timide est con comme un troUDUC vous mavé aidé est grand merci a vous.avant j été vraiment con est maintenant j suis super coul merci merci grand merci.
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