vendredi 31 décembre 2010

Réponse au défi.

DEFI RELEVE !

"L' valet comme tu l’attendais, je relève le défi car suite à une conversations avec Fabrinat cela ne sera qu'une simple formalité.
Donc, je te donne rendez-vous sur le Mont-Cassel à minuit car Maître Larry, après avoir longtemps méditer dans un lieu saint et propre, m’a expliqué qu’une porte des étoiles se trouvait dans la grotte de Saint-Maroille. Celle-ci nous permettra de franchir une grande partie de notre périple pour nous rendre sur le sommet de l' Himalaya.

Comme tu le sais après avoir parcouru le monde entier pour trouver une solution
d’aide pour moi, malgré les différents encouragements et entraînements de la part de Maitre Larry et Fabrinat, c'est là-bas que nous retrouverons la plénitude de la solution et du raisonnement.

J'ai rencontré Pica, la chef du réseau Atyla dont la réputation n'est plus à faire avec ses compatriotes le chef Fanny et l'aide de camps Mich qui savent de quoi elles parlent.
D' après elles, nous devons nous rapprocher de Nountch qui d' après Mac Guayver aurait le code pour actionner la porte des étoiles.

J'avais oublié, de te dire, ne prend que le stricte nécessaire car d'après Mac pour franchir la porte des étoiles il faudra être dans le plus simple appareil, en pénitence, avec la croupe relevée et l'abricot bien serré.
Donc pas la peine de t’encombrer de ta vanity et de ta charrette, celle que tu accroches derrière ton vélo pour aller à la chasse aux champignons.

D'après Pica la chef du réseau Atyla dont la réputation n’est plus à faire le Nountch va nous donné un code de 7 chevrons qu’il faudra actionner avec prudence car si une erreur se glisse dans celui-ci ou qu’une flatulence passe par la porte des étoiles, d'après le Chef Pica nous serions perdu dans les méandres de l’enfer (même pas peur).

Donc au sommet de L'Himalaya un homme nous attend et c’est Daivid qui d' après un marin aguerri qui lui a appris les techniques de survie en mer en l’accrochant à la cime d’un des 7 mats de son voilier et qui a survécu à un sounami mais cela est une autre histoire.

Donc là-bas, au bout de 3 H 7mn 369 jours et 2 années théoriquement, nous devrions être libérer de la nicotine.
Mais, certaines personnes maldisantes insinue que, suite à une petite faiblesse de santé de ta part, cela pourrais remettre en cause le défi.

D' après Pica la chef du réseau Atyla dont la réputation n’est plus à faire , si le défi
n’est pas relevé et d' après le chef chef Nath, ta moto trônera dans ma salle à manger.
Cela sera un plaisir !!!!!!!!!!
Le chef chef Nath a déjà prévu de la repeindre couleur cuisine, d’ajouter des crochets pour y mettre ses jardinières et faire pousser de belles marguerites.

Donc rendez-vous ce soir sur le Mont-Cassel.

Enfin j'espère pour toi, sinon de grosses larmes, vont coulées sur tes grosses joues !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Toute ma nicotine distinguée.

BISOUS.
TONTON FRANCK

mardi 30 novembre 2010

LE DEFI

Dimanche 21 novembre 2010


Sûr de moi, j’avance à grands pas vers l’habitation de TONTON Franck. En signe de respect et pour m’avoir reconnu, les gens me saluent avec une considération soutenue. Ce qui va suivre ne va certainement pas leur plaire. Arrivé devant la maison bourgeoise de TONTON, je me mets à crier comme un beau diable et lui lance un défi.


Ce dernier, ni une ni deux, m’envoie un texto me signalant qu’il arrive… c’est quoi ce délire, il transmet des textos maintenant ?
Une masse de muscle imberbe (il se rase où quoi ?) sort par la massive porte d’entrée en vociférant des insultes. Torse bombé, savates bleues aux pieds et les cheveux en pétards, il a juste enfilé un jeans orange et craqué pour cacher ses attributs… TONTON dans sa superbe…
Prenant peur, les voisins s’enferment chez eux. Une dame court avec son bébé dans les bras… tous les volets sont clos, il n’y a plus un bruit. Arrivé à ma hauteur, il ne peut s’empêcher de me rappeler l’incident qui a failli lui coûter la vie, suite à une soirée bien arrosée accompagnée d’une orgie de glace à la banane. L’éradication pure et simple de ses toilettes toutes neuves en ADAMANTIUM… je le vois bien, l’énerve encore. Les yeux ingurgités de sang et les pommettes proéminentes, le guerrier s’approche poussivement… et me lâche à la face un rototo de soupe aux légumes dont je redoute la provenance asiatique. Fidèle à moi-même, je reste de marbre puis contre-attaque avec un attrapé de boule (il n’en a plus qu’une) esquivé avec difficulté quand même, par le chef de meute. Se sentant menacé, TONTON baisse sont falzar et me livre en pâture ses deux miches… un gaz malodorant s’échappe de son orifice anal, s’en est trop !
STOP, je veux juste te lancer un défi digne d’un grand dignitaire. Le vieux guerrier relève son froc nerveusement et frappe du pied le sol poussiéreux qui m’aveugle un temps. Relevant la tête, il me demande pour quel défi je suis venu le faire chier un dimanche après-midi et pendant la sieste en plus. Ma réponse, il la connait et sa répartie fuse… OK, pour arrêter de fumer ! Nous mettons en jeu nos bécanes… Il se fera aider par la méthode ZEN, « quand dit long » de Maître LARRY et moi par une technique culinaire concoctée par le Commandante NOUNTCHé GUEVARA. Arrive le moment où nous décidons de mettre une limite de temps à l’enjeu. Sûr de lui et rictus aux lèvres, le « un an » n’a pas le temps de sortir de sa boîte à camembert… je rétorque expéditivement « dix ans »… s’en est fini de lui, il vacille. Soudain et sans crier gare, il disparait. Sur le long terme, TONTON est facile à prendre et sa puissante carcasse ne résistera pas, et il le sait.


Dans un vacarme ahurissant et enfourchant sa célébrissime monture, le vieux baroudeur réapparait. Les muscles bandés à l’extrême, il fait virevolter la grosse cylindrée… la roue avant me frôle trois fois et l’arrière sept fois. Je dois bien l’avouer… un doute me tiraille les tripes. Comment ais-je pu penser un seul instant pouvoir corriger ce mythique et valeureux seigneur de guerre ? Brusquement et cela grâce à l’expérience des stages au mont des cats, une lueur d’espoir émerge du fin fond de mon être, je pratique in extrémis la danse du guerrier, le fameux AKAK !


Rouge de colère, TONTON débite des mots volontairement outrageants, offensants… blessants, mêmes venants de lui.

C’est fini, il a perdu…


Le défi est relevé et débutera à partir de janvier à ma convenance, signé en lettres de sang sur un parchemin prélevé sur la peau des anciens et remis entre les mains de Maître LARRY.


Entre-temps, moi et TONTON nous réconcilions devant une bonne bouteille de cidre en chantant des chansons paillardes…

Entretemps, Maître LARRY et Michèle profitent pleinement de leur indisponibilité !

jeudi 1 avril 2010

The Eagle of the road

Marino est motard depuis 30 ans et son adrénaline, c'est la vitesse

vendredi 26.03.2010, 05:05 - La Voix du Nord
Marino Zaccardi va vivre son 18e Salon de la moto de Pecquencourt.

Pecquencourt s'apprête à accueillir son 31e rassemblement de motards, internationalement connu et organisé par son désormais célèbre moto-club. Parmi ces passionnés, Marino Zaccardi, 48 ans, dont c'est la 18e participation.
PAR ÉLODIE LÉCADIEU
C'est avec beaucoup d'attention et d'impatience que Marino regarde ses copains motards installer le hall de présentation du futur 31e Salon de la moto de Pecquencourt. Pourquoi ? Parce que le hall va se voir peuplé de motos de vitesse, et ce sont celles qu'il préfère. « La balade en moto du dimanche matin à 50km/h avec les copains, très peu pour moi ! » Au moins, on sait à quoi s'attendre. Cela est même plutôt surprenant quand on rencontre Marino, moins expansif que ses camarades motards. Plus réservé, mais pas moins passionné.

On peut dire qu'il est tombé dans la marmite étant petit. À 10 ans, il rêve déjà de monter sur une moto. À 14 ans, il a le droit de monter sur un deux-roues et commence par la Mobylette. À 18 ans, c'est enfin une moto. Depuis le début, c'est le côté sportif de la discipline qui le passionne, les grands prix. « Je les suis autant que je peux, mais je vais aussi les voir, comme celui du Mans, ou même en Belgique et aux Pays-Bas. Je pense même aller faire un tour à Barcelone l'année prochaine. » D'autant qu'il a la chance d'avoir sa famille à ses côtés. Son épouse a même passé le permis moto sans le lui dire et ses fils s'y intéressent tout autant.
Il conduit aujourd'hui sa dixième moto, une Yamaha R1, et ce petit bijou peut monter jusqu'à 300km/h. « Je sais que cette mauvaise image des motards vient entre autres de gens comme moi, qui conduise vite sur les grands axes » s'excuse-t-il presque. « Quand je conduis une moto, je suis impressionné par la bécane. C'est clairement de l'adrénaline, parce qu'on n'a pas le droit à l'erreur à une telle vitesse, sinon c'est fatal. » Il confie qu'il a déjà perdu des amis comme ça, mais quand il monte sur une moto, il se sent différent. « En voiture je roule comme un petit vieux. Mais sur une moto, je me déconnecte complètement. Heureusement, dans la majorité des clubs, on n'est pas très nombreux, les barjos comme moi ! » Évidemment, participer en tant que professionnel à ce genre de courses reste pour lui un rêve de gosse. Mais devant le manque d'argent et de visibilité du monde de la moto en France, Marino a dû s'abstenir. Après avoir fait l'armée, il voulait travailler dans la mécanique moto, mais on lui a dit que ça n'allait pas marcher. Selon lui, la France ne donne pas assez sa chance à la moto, contrairement à des pays comme l'Espagne, l'Italie et bien sûr le Japon, dont les marques englobent aussi équipements et accessoires. Mais il reste toujours Valentino Rossi, son idole, pour le faire rêver.